Ir a los comentarios

Texto retirado por el administrador Silberius
Motivo: Borrado a petición del autor

La historia se repite. Hace dos mil años Las legiones romanas dominaban los ultimos reductos indigenas en La Cordillera Cantábrica. Hoy legiones de especuLadores y empresarios de diversa indole, con el beneplácito de Las administraciones y La atonía de los habitantes de Las montañas, rememoran La ocupación y el despropósito:

Es importante utilizar los medios de que disponemos hoy en día para dar a conocer y divulgar algunas intervenciones y atrocidades que se están y están previstas acometer en medios montañosos.

Parques eólicos: SoLamente en La Montaña Occidental de León, en el 2003 estaban licitados 380 aerogeneradores. Las comarcas más afectadas Omaña (que ya se libró de un megaembalse en La decada pasada), Babia, Laciana y Bierzo.
De momento a día de hoy, no hay ni un solo molino instaLado. Todos los proyectos estan paralizados y recurridos. Es interesante ver el mapa de "esta alucinación" en el siguiente enLace.


http://www.terra.es/personal2/mercyl/centroma.htm

Por otra parte, en La recién decLarada Reserva de La Biosfera de Laciana, el Ayuntamiento de VilLablino firmó un acuerdo con Victorino Alonso (tio del famoso corredor de FormuLa I) y dueño de La MSP (MineroSiderurgica de Ponferrada) para promover al menos 5 minas de carbón a cielo abierto, que destrozarán de forma irreversible todos los valles norte de VilLablino hacia Asturias, reserva de La Biosfera y zona osera. Estas serían "legales" ya que hay iniciadas varias explotaciones a cielo abierto totalmente ilegales.Uno de sus ingenieros, pilLado "in fraganti", en conversación privada, se jactaba de que iban a dejar La comarca "como La luna". Esta movida
provocó una moción de censura en el Ayuntamiento y La perdida de La alcaldía por parte del PSOE.

Además de estas actuaciones, tenemos, Las aperturas de pistas de esqui, complejos hoteleros, cortafuegos, pistas forestales y cotos de caza frecuentados por legales y por furtivos.

http://www.ecologistasenaccion.org/article.php3?id_article=2400


Esta es sólo una pequeña muestra del asalto final a Las montañas de León. Como vemos, a La despobLación algunos le sacan suculentas tajadas para sus bolsillos.

La sensación es de pesimismo total; pero al menos es importante que se sepa lo que está sucediendo.





No hay imágenes relacionadas.

Comentarios

Tijera Pulsa este icono si opinas que la información está fuera de lugar, no tiene rigor o es de nulo interés.
Tu único clic no la borarrá, pero contribuirá a que la sabiduría del grupo pueda funcionar correctamente.


  1. #101 kaerkes 27 de jun. 2006

    Mountain Wilderness International press release

    On Sunday 25 June 2006, members of Mountain Wilderness France,
    Mountain Wilderness Spain and Pays de l'Ours-ADET have climbed,
    under very hard weather conditions, the Madèra Pass (2526 m),
    from both side of the boundary. When meeting, the delegations
    have unwinded a banner with the slogan of the demonstration
    Para aragoneses, navarros, franceses y cataLanes de La celtiberia. Esos PIRINEOS!


    "Living Mountains - Pyrenees free of specuLation".

    This action took pLace in the frame of the general mountain
    protection day "Cumbre vivas", pLanning this same day, the
    ascent of several summits of the range. The purpose was to draw
    attention of the general public on the very worrying situtation
    of the Pyrenees, where the property business is threatening most
    of the Last wild areas of this wonderful mountains, entailing
    also the expansions and interconnections of ski resort, building
    of new roads and spreading of motorized leisure practising.

    Mountain Wilderness International calls all the governments from
    both side of the Pyrenees to take urgent measures to stop this
    devastating attack against this important range, to protect its
    biological divesity and cultural heritage, and to prevent money
    to pervert the subtle economical baLance of the valleys.

    Hugues THIEBAULT
    Mountain Wilderness International General Secretary

  2. #102 kaerkes 05 de jul. 2006

    Por otro modelo de transporte a través de los ALPES: (textos en francés e italiano)


    COMMUNIQUE DE PRESSE / COMUNICATO STAMPA


    Communiqué de presse

    CircuLation des poids lourds à travers les Alpes
    franco-italiennes: Il faut réduire de moitié le trafic avant
    2020.

    Les délégations italiennes et françaises de La CIPRA s'accordent
    sur cet objectif et récLament La mise en oeuvre des
    investissements nécessaires sur les réseaux ferroviaires de
    transit à travers les Alpes, entre Lyon et Turin, à Vintimille
    et vers La Suisse.

    La CIPRA (Commission Internationale pour La PRotection des
    Alpes), qui est une fédération internationale d'associations
    alpines a établi une position commune sur le caractère
    prioritaire de l'objectif de réduction du trafic poids lourds à
    travers les Alpes franco-italiennes.

    La CIPRA s'est inspirée du modèle suisse de politique des
    transports: Il faut d'abord afficher des objectifs de réduction
    du trafic routier et définir ensuite les mesures adaptées et les
    investissements nécessaires pour atteindre ces objectifs.

    Actuellement, 2,8 millions de poids lourds transitent
    annuellement entre La France et l'Italie, soit 8000
    véhicules/jours dont 32OO au Fréjus et 1000 au Mont-BLanc. Pour
    CIPRA France et CIPRA Italie, ce trafic devrait être réduit de
    moitié par un programme qui permette d'atteindre cet objectif en
    2020.

    Les associations environnementalistes françaises et italiennes,
    qui partagent cet objectif de réduction de 50% du trafic avant
    2020, pensent qu'il est nécessaire de cLarifier les moyens qui
    permettront de l'atteindre. C'est au nom de cette exigence de
    cLarté qu'elles demandent aux administrations des régions
    concernées (Paca, Rhône-Alpes, Ligurie, Piémont et Val d'Aoste)
    de dégager les ressources nécessaires pour rédiger un “livre
    bLanc”, qui permette de sélectionner, dans l'énorme quantité de
    données et d'études, les mesures prioritaires qui permettront
    d'atteindre un objectif ambitieux.

    Patrick Le Vaguerèse, président de CIPRA France et Damiano Di
    Simine, président de CIPRA Italie affirment qu'aucun d'eux n'est
    disposé à attendre La réalisation du tunnel de base du Mont
    Cenis pour que soient mises en oeuvre les mesures qui doivent
    dés aujourd'hui permettre de réduire considérablement le trafic
    dans les vallées alpines.

    Ils tiennent à souligner les points essentiels de La résolution
    franco-italienne, adoptée par CIPRA - France et CIPRA - Italie:
    - La France et l'Italie doivent adopter des objectifs communs de
    transfert de marchandise de La route au chemin de fer, en
    conformité avec le protocole transports de La Convention Alpine.
    - Il est nécessaire d'améliorer rapidement les performances des
    réseaux ferrés transalpins accueilLant le transit entre l'Italie
    et La France, (via Vintimille et Modane, mais aussi le
    Lötschberg et le St Gothard). Il faut réduire l'engorgement des
    grands noeuds ferroviaires situés en amont de ces traversées,
    aussi bien en France (Chambéry, Aix les Bains,... qu'en Italie,
    Turin, MiLan,... et sur La ligne du Fréjus, qui n'est utilisée
    qu'au tiers de sa capacité.

    Il faut par ailleurs que soient abandonnés les projets qui
    conduisent à une augmentation de La capacité routière, par
    exemple le doublement de La Galerie du tunnel du Fréjus.

    Des ressources suffisantes doivent être investies, pour
    améliorer les performances des réseaux ferroviaires et éliminer
    les goulots d'étranglement. Il faut moderniser et étendre le
    parc des matériels rouLants, locomotives et wagons, pour
    améliorer les prestations et La sécurité.

    Il faut investir sur l'offre de transports et les prestations de
    logistiques technologiquement avancées. Il faut exploiter au
    mieux les capacités offertes par le transport maritime.

    Face à ces exigences de court-terme, et au vu des éléments qui
    seront apportés par le livre bLanc, il faudra réexaminer le
    caractère prioritaire du tunnel de base transfrontalier.


    Grenoble, le 02 07 2006

    CIPRA – France
    MNEI
    5 pLace Bir Hakeim
    F-38000 Grenoble
    Tél. / Fax: +33 (0)4 76 48 17 46
    france@cipra.org
    http://www.cipra.org

    = = = = = = = = = = = = = = = ////////////////


    Communicato stampa


    Traffico pesante attraverso le Alpi italo
    – francesi: l'obiettivo è il dimezzamento entro il 2020.

    Le delegazioni italiana e francese delLa CIPRA concordano
    sull'obiettivo di trasferimento: sono urgenti gli investimenti
    ferroviari sull'intera rete ferroviaria di accesso alLa
    Torino-Lione e alle altre ferrovie di valico, da Ventimiglia
    alLa Svizzera

    La CIPRA (Commissione Internazionale per La protezione delle
    Alpi), organizzazione di raccordo tra le associazioni dei
    diversi versanti dell'arco alpino, ha raggiunto una posizione
    comune sulle priorità e gli obiettivi di riduzione delLa morsa
    del
    traffico pesante attraverso le Alpi tra Italia e Francia.

    La CIPRA si è per questo ispirata al modello svizzero di
    politica dei trasporti: occorre dichiarare obiettivi di
    riduzione e perseguirli con idonee misure e investimenti!

    Attualmente, tra Italia e Francia transitano 2,8 milioni di
    mezzi pesanti all'anno, pari a quasi 8000 veicoli/giorno di cui
    ben 3200 sono quelli che valicano al Frejus, 1000 quelli che
    scelgono il tunnel del Monte Bianco. Una quantità che, secondo
    CIPRA Italia e CIPRA Francia, dovrebbe essere ridotta al 50%,
    con un programma di riduzione che consenta di raggiungere questo
    obiettivo entro il 2020.

    Le associazioni ambientaliste di Italia e Francia concordano
    sull'obiettivo di riduzione del 50% del traffico da qui al 2020,
    ed è per una esigenza di chiarezza che chiedono alle
    amministrazioni delle regioni confinanti (PACA, Rodano-Alpi,
    Liguria, Piemonte e Valle d'Aosta) di rendere disponibili le
    risorse necessarie a redarre un ‘libro bianco', che permetta di
    selezionare, nell'enorme quantità di dati e ricerche, le misure
    prioritarie per conseguire un così ambizioso risultato.

    ‘Una cosa è certa – concordano Patrick Le Vaguerèse e Damiano Di
    Simine, presidenti rispettivamente di CIPRA Francia e di CIPRA
    Italia – nessuno di noi è disposto ad aspettare che venga
    realizzato il tunnel di base del Moncenisio prima mettere in
    campo le misure che già oggi consentono di ridurre notevolmente
    La morsa del traffico nelle valli alpine.'


    Alcuni punti chiave sono chiaramente stabiliti dalLa risoluzione
    sottoscritta da CIPRA Francia e CIPRA Italia:

    - Francia e Italia devono condividere obiettivi di trasferimento
    delle merci dalLa strada alLa ferrovia, in conformità con il
    protocollo Trasporti delLa Convenzione delle Alpi.

    - E' necessario da subito migliorare le condizioni di tutte le
    ferrovie transalpine utilizzate per i transiti tra Italia e
    Francia (Ventimiglia e Modane, ma anche Loetschberg e Gottardo)
    e La loro accessibilità dai grandi e intasati nodi delLa
    pianura, che attualmente sono veri e propri colli di bottiglia,
    sia sul Lato italiano (Torino, MiLano) che su quello francese
    (Chambéry, Aix les Bains), e rappresentano una delle cause per
    cui La linea del Moncenisio è oggi utilizzata solo per un terzo
    delLa sua capacità di trasporto.

    Per La stessa ragione, occorre che vengano abbandonati i
    progetti che comportano un aumento delLa capacità stradale, a
    partire dal raddoppio del tunnel autostradale del Frejus

    Risorse importanti devono essere investite per migliorare le
    reti ferroviarie ed eliminare i ‘colli di bottiglia'.

    Occorre ammodernare e aumentare il materiale rotabile (motrici e
    carri) in modo da migliorarne le prestazioni e La sicurezza.

    Occorre investire su servizi di logistica capaci di prestazioni
    tecnologicamente avanzate, e sfruttare al meglio le capacità
    offerta dal trasporto marittimo.

    Di fronte a queste esigenze di breve termine, e alLa luce degli
    elementi che saranno apportati dal ‘libro bianco', sarà
    possibile riesaminare l'effettivo carattere prioritario del
    tunnel di base
    transfrontaliero.


    Torino, 02 07 2006
    CIPRA – Italia
    Via Pastrengo 13
    I-10128 Torino
    Tel.: 0039-011-548626
    Fax: 0039- 011-503155
    Contatto : +39 333 2451109
    cipra@arpnet.it
    http://www.cipra.org



    **********************


    RESOLUTION / RISOLUZIONE


    Résolution franco-italienne
    sur La circuLation des poids lourds à
    travers les Alpes franco-italiennes: il faut réduire de moitié
    le trafic avant 2020.


    CIPRA France et CIPRA Italia ont adopté La résolution commune
    suivante:

    1. Elles rappellent les enjeux stratégiques du transfert vers le
    ferroviaire du transport des marchandises et les conditions
    préaLables et urgentes à sa mise en oeuvre

    2. Elles considèrent que le transfert des marchandises de La
    route vers le rail est une priorité absolue cohérente avec les
    dispositions prévues dans le Protocole transport de La
    Convention alpine et affirment l'urgence d'une ratification
    complète du Protocole transport par le parlement italien et sa
    mise en oeuvre sans restrictions, en France comme en Italie.

    3. Elles affirment La nécessité pour ces États d'afficher des
    objectifs ambitieux à court terme pour une réduction progressive
    du trafic de marchandises sur les routes. En 2004, les vallées
    du nord des Alpes francoitaliennes (Mont-bLanc + Fréjus) ont vu
    transiter 24 millions de tonnes de marchandises transportées par
    camion. D'ici à 2020 ce tonnage doit être réduit de moitié (1).

    4. Elles sont globalement d'accord sur l'urgence des mesures à
    prendre pour que ce transfert s'accomplisse:

    5. Elles souhaitent que le projet Lyon - Turin soit resitué dans
    les contextes nationaux et européens de soutien au transfert
    modal. Le projet de création d'un tunnel de base ne doit pas
    freiner d'autres priorités, côté français, comme côté italien.
    Il ne faut pas seulement améliorer (reconsidérer) les traversées
    alpines mais commencer dés maintenant à améliorer les
    performances des lignes actuelles, supprimer les points
    critiques et adapter les modes de fonctionnement.

    6. Elles refusent La poursuite de réalisations routières ou
    autoroutières à travers les alpes.

    7. Elles dénoncent et exigent le retrait de La décision de
    création au Fréjus d'une nouvelle galerie. Cette nouvelle
    galerie aurait les caractéristiques d'une nouvelle voie de
    transit et
    réaliserait de fait le doublement de La galerie actuelle.

    8. Pour les mêmes raisons, elles demandent l'abandon de tout
    projet de création de nouvelles infrastructures routières à
    travers les alpes franco-italiennes. Ces opérations
    anéantiraient définitivement les chances de créer une
    alternative crédible au transport routier dans les Alpes
    franco-italiennes.

    9. La mutation volontariste du transport de marchandises suppose
    une transformation radicale de La logistique des transports, qui
    va bien au-delà de La question des infrastructures ferroviaires.

    10. Elles demandent l'amélioration des réseaux ferroviaires
    existants, La création de pLateformes multimodales, La mise en
    oeuvre de nouvelles technologies, une nouvelle politique pour La
    logistique, l'achèvement des nouvelles infrastructures en
    construction (de Ventimiglia à La Suisse), le renforcement du
    transfert modal déjà mis en pLace grâce au cabotage en
    méditerranée.

    11. Elles rappellent que les conditions de réussite du transfert
    modal sont liées à l'état du réseau ferroviaire et aux modes,
    moyens et conditions de son exploitation, mais aussi aux
    conditions de collecte et d'expédition des marchandises.

    12. Elles incitent par conséquent les États à reLancer
    vigoureusement La réorganisation du secteur des transports, en
    favorisant le développement des sociétés de logistique
    intermodale et en renonçant – définitivement - à toutes formes
    de soutien dédié exclusivement au transport routier.

    13. Elles rappellent que les coûts du transport doivent refléter
    La réalité des charges d'investissement, de fonctionnement et
    d'entretien ainsi que les coûts environnementaux et sociaux.
    Cependant, les mesures de tarification ne suffiront pas à
    améliorer le transfert modal qui nécessite une autre politique
    volontariste de transport.

    14. Elles considèrent que les actions qui permettront de
    renforcer l'efficacité, l'intégration environnementale et La
    sécurité du trafic en amont et de part et d'autre du tronçon
    central de La liaison Lyon-Turin doivent être prioritaires.

    15. Elles s'interrogent sur La pertinence de l'ouverture en
    France d'une enquête publique qui ne concerne pas La partie
    italienne sur le tunnel de base, qui est pourtant un ouvrage
    transfrontalier.

    16. Sur La base de ces prévisions, pour accélérer le processus
    nécessaire de transfert modal des marchandises et des voyageurs
    et améliorer La qualité du processus démocratique de décision
    concernant les projets ferroviaires, les associations
    signataires proposent de réaliser un livre bLanc des projets de
    développement
    ferroviaires dans les Alpes franco-italiennes.

    17. Elles sollicitent auprès des autorités politiques de l'État
    et des régions concernées, les financements qui permettront de
    réaliser ce document.


    Grenoble, le 02 07 2006
    Patrick Le Vaguerèse, Président

    CIPRA France
    MNEI
    5 pLace Bir Hakeim
    F-38000 Grenoble
    Tél. / Fax : +33 (0)4 76 48 17 46
    france@cipra.org
    http://www.cipra.org


    = = = = = = = = = = = = = = = ////////////////



    Risoluzione franco – italiana:
    traffico pesante attraverso le Alpi italo – francesi.
    L'obiettivo è il dimezzamento entro il 2020.

    CIPRA Francia e CIPRA Italia hanno adottato La seguente
    risoluzione comune:

    1. Esse ricordano il carattere strategico del trasferimento su
    ferro per il trasporto delle merci e le condizioni preliminari e
    urgenti alLa sua messa in opera.

    2. Considerano che il trasferimento del trasporto merci dalLa
    strada alLa rotaia è una priorità assoluta, coerentemente con le
    misure previste dal protocollo sui trasporti delLa Convenzione
    delle Alpi ed affermano l'urgenza di una piena ratifica del
    protocollo sui Trasporti da parte del ParLamento Italiano, e una
    sua piena attuazione senza restrizioni in Francia come in Italia.

    3. Esse affermano pertanto La necessità di obiettivi ambiziosi e
    a breve termine di riduzione progressiva del trasporto merci su
    strada: nel 2004 i valichi alpini delle Alpi occidentali franco
    – italiane (Monte Bianco + Fréjus) sono stati attraversati da 24
    milioni di tonnelLate di merci trasportate da camion. Entro il
    2020 questa quantità deve essere dimezzata (1).

    4. Sono complessivamente d'accordo sull'urgenza delle misure da
    adottare affinché tale trasferimento si compia:

    5. Si augurano che il progetto Lione-Torino sia restituito ai
    contesti nazionali ed europei di sostegno al trasferimento
    modale. La parte di progetto che riguarda il tunnel di base non
    deve frenare altre priorità, sul versante francese come sul
    versante italiano. Bisogna cominciare da subito a migliorare le
    prestazioni delle linee attuali secondo una logica che affronti
    le criticità delLa intera rete puntando alLa soppressione dei
    punti di criticità, senza limitarsi alLa semplice opera di
    attraversamento alpino.

    6. Rifiutano il proseguimento di nuove realizzazioni o
    potenziamenti stradali o autostradali attraverso le Alpi.

    7. Denunciano ed esigono il ritiro delLa decisione di creare al
    Frejus una nuova galleria. Questo nuovo tunnel ha le
    caratteristiche di una nuova viabilità di transito, e
    rappresenta di fatto il raddoppio delLa attuale carreggiata.

    8. Per le stesse ragioni chiedono l'abbandono di qualunque
    progetto di creazione di nuove infrastrutture stradali
    attraverso le Alpi franco – italiane. Questi interventi
    annullerebbero
    definitivamente le possibilità di creare una alternativa
    credibile al trasporto stradale nelle Alpi franco-italiane.

    9. La volontà di cambiamento del trasporto delle merci
    presuppone una trasformazione radicale delLa logistica dei
    trasporti che va ben al di là delLa questione delle
    infrastrutture ferroviarie.

    10. RecLamano il miglioramento delLa rete ferroviaria esistente,
    La creazione di piattaforme multimodali, l'adozione di nuove
    tecnologie, una nuova politica delLa logistica, lo sfruttamento
    delle nuove infrastrutture ferroviarie in costruzione (da
    Ventimiglia alLa Svizzera), il trasferimento modale già in atto
    grazie al potenziamento dei porti e del cabotaggio nel
    Mediterraneo.

    11. Ricordano che le condizioni per La riuscita del
    trasferimento modale sono connesse innanzitutto allo stato delLa
    rete ferroviaria e alle modalità, ai mezzi e alle condizioni del
    suo utilizzo, ma anche alle condizioni delLa raccolta e delLa
    spedizione delle merci.

    12. Occorre pertanto un impegno degli Stati a incentivare
    fortemente La riorganizzazione del settore dei trasporti,
    favorendo lo sviluppo di società di logistica intermodale ed
    abolendo - definitivamente- ogni forma di sostegno
    all'autotrasporto puro.

    13. Esse ricordano che i costi del trasporto devono rispecchiare
    La realtà dei costi degli investimenti, del funzionamento e delLa
    manutenzione così come dei costi ambientali e sociali. Ciò
    nonostante, le misure di tariffazione non basteranno da sole a
    migliorare il trasferimento modale che necessita di un'altra
    politica del trasporto.

    14. Considerano che le azioni che permetteranno di migliorare
    l'efficienza, l'integrazione ambientale e La sicurezza del
    traffico da una parte e dall'altra del troncone centrale del
    collegamento Lione-Torino devono essere prioritarie.

    15. Si interrogano sulLa pertinenza dell'apertura solo in
    Francia di un'inchiesta pubblica sul tunnel di base, che non
    riguarda La parte italiana, trattandosi delLa realizzazione di
    un'opera transfrontaliera.

    16. SulLa base di queste previsioni, per accelerare il
    necessario processo di trasferimento modale delle merci e dei
    passeggeri e per migliorare La qualità del processo democratico
    decisionale
    riguardante questi progetti ferroviari, le associazioni
    firmatarie propongono di realizzare un libro bianco dei progetti
    di sviluppo ferroviarie nelle Alpi franco-italiane.

    17. Sollecitano presso le autorità politiche statali e regionali
    interessate i finanziamenti che permetteranno di realizzare
    questo documento.


    Torino, 02 07 2006

    Damiano Di Simine, Presidente

    CIPRA - Italia
    Via Pastrengo 13
    I-10128 Torino
    Tel.: 0039-011-548626
    Fax: 0039- 011-503155
    cipra@arpnet.it
    http://www.cipra.org

  3. #103 kaerkes 28 de jul. 2006

    Una imagen del Espigüete, con sus 2.450 metros de caliza asomando, cual monte Cervino, de entre Las cántabras tierras vadinienses en Las comarcas de Riaño (León) y Guardo (Palencia). Otro encLave de La Cordillera Cantábrica amenazado.

    Photobucket - Video and Image Hosting

  4. #104 Llug 29 de jul. 2006

    Al hilo de lo que comentáis sobre La energía, yo creo que a medio pLazo no nos libra ni dios de Las nucleares. Por el momento aguantamos el tirón con los ciclos combinados, pero por muchos aerogeneradores que se pongan (España está ya en segundo lugar del mundo, tras Alemania en producción de energía eólica, quién lo iba a decir) nunca se satisfará toda La demanda. Por no decir que La energía eólica depende del viento que haga, y nosotros no preguntamos si hay viento o no para encender La tele o el aire acondicionado.

    Ahora, al Lado de La casa de quién ponemos Las centrales nucleares? Porque yo conozco toda La teoría, y sé que Las nucleares son muy limpias (menos cuando dejan de serlo) y que el nivel de emisiones contaminantes a La atmósfera es mucho menor que en Las térmicas pero..... al Lado de mi casa no La quiero. Prefiero un molino de esos con todo el ruido que haga, una presa que pueda romperse o una térmica con sus hollines que una fuente de "chilindrinos" xPPPPP

  5. #105 kaerkes 29 de jul. 2006

    Hombre LLug, pues está cLaro que zona se va a "comer" el Centro de Residuos de Alta Actividad Nuclear: Creo que La provincia elegida empieza por Z y termina por A, teniendo en el medio una M y una R. Hace años que viene pLaneando este asunto por aquí encima.

    CastilLa y León se ofrece para albergar el cementerio nuclear

    ENERGIA 13/06/2006 (De Ecologistas en Acción)

    El Director General de Energía y Minas de La Junta de CastilLa y León, Manuel Ordoñez CarbalLada, ofreció el territorio castelLano-leonés para albergar los residuos radiactivos de alta actividad de todas Las centrales nucleares españoLas, durante La última sesión de La Mesa de Energía Nuclear organizada por el Ministerio de Industria, Turismo y Comercio, celebrada el pasado 17 de mayo, y de La que Ordoñez es vocal en representación de CastilLa y León. Asimismo ofreció su comunidad autónoma para La construcción de nuevas centrales nucleares.

    Ecologistas en Acción y Greenpeace critican el anuncio del representante de La Junta de CastilLa y León por el desprecio que supone a La voluntad de los ciudadanos castelLano-leoneses y por implicar una apuesta cLara por un modelo energético insostenible, basado en energías sucias y peligrosas como La energía nuclear.

    Los residuos radiactivos de alta actividad, generados en Las centrales nucleares, son productos con un gran potencial radiotóxico, que emiten radiactividad durante decenas de miles de años, y para los que no existe solución técnica satisfactoria en ningún país del mundo. El Gobierno central y ENRESA han optado por La construcción de un Almacén Temporal Centralizado (ATC) cuyo empLazamiento está por decidir, pero cuyo proceso de decisión empezará próximamente y, en teoría, acabará en octubre de este año. ENRESA ha hecho público en numerosas ocasiones que el cementerio nuclear se construirá en un lugar donde sus habitantes lo acepten pero hasta La fecha hay serias dificultades para encontrar candidatos firmes, a pesar de Las compensaciones ofrecidas a quien acepte tal instaLación.

    Estas dificultades se deben a que una instaLación de ese tipo supone un riesgo obvio y una hipoteca de futuro para el municipio donde se construya. En este ambiente de debate, el representante de La Junta de CastilLa y León se atrevió a ofrecer su comunidad autónoma para La construcción del ATC, sin haber tenido en cuenta previamente La opinión de sus ciudadanos.

    Desde Greenpeace y Ecologistas en Acción queremos señaLar que el problema de La gestión de los residuos de alta actividad sólo se solucionará con un gran consenso social que únicamente podrá alcanzarse poniendo sobre La mesa un calendario de cierre progresivo pero urgente de Las centrales nucleares, empezando por La central de Santa María de Garoña (Burgos).

    Asimismo, Manuel Ordoñez se permitió ofrecer a esta comunidad autónoma para La construcción de nuevas centrales nucleares, justo en el momento en que el Gobierno ha afirmado que piensa respetar su compromiso de sustitución pauLatina de Las centrales nucleares existentes por fuentes de energía más limpias, seguras y baratas y de concretar un pLan antes del fin de La legisLatura.

    Estos ofrecimientos reveLan La actitud antidemocrática de los gobernantes de La Junta de CastilLa y León al ofrecer a esta región como basurero nuclear sin contar con La aprobación de sus ciudadanos y de sus municipios que deberían albergarlos.

    Además, La Junta ha demostrado tener una visión obsoleta y anticuada del problema energético al apostar por La energía nuclear y ofrecer su territorio para La construcción de nuevas centrales. Por un Lado, este ofrecimiento va en contra de La opinión de La mayoría de La ciudadanía que se opone a La construcción de nuevas centrales nucleares y que se muestra contraria al uso de La energía nuclear para producir electricidad. Por otro Lado, Las nucleares no son La solución a los problemas energéticos pLanteados, como muestran numerosos estudios y como se desprende de Las conclusiones de La Presidencia de La Mesa de Energía Nuclear.

  6. #106 kaerkes 03 de ago. 2006

    MaLas noticias para Viriato y otros druidas zamoranos.
    Al hilo de lo que comentabamos hace unos días. El alcalde de PEQUE (Zamora) de 175 habitantes ha ofrecido ayer su municipio para instaLar el Centro de Residuos Nucleares de Alta Actividad, que ENRESA lleva años buscando para almacenar el combustible gastado de todas Las centrales nucleares españoLas, consistente en miles y miles de bidones. A final de ste año, ENRESA debe decidir el empLazamiento definitivo.

    Siempre Zamora fue candidata avanzada para este empLazamiento, y sorprenden Las informaciones de La semana pasada y el ofrecimiento de ayer del alcalde de Peque (PP), a cambio de 300 empleos para el pueblo. La Diputación Zamorana no se muestra de acuerdo (al menos publicamente) y La opinión vecinal esta dividida. Enigma el de este alcalde, cuyo ofrecimiento suena mucho má a preparación psicológica del trerreno que a realidad.

    Mi opinión es que La zona no será ni Sanabria ni Carballleda, sino el Sayago. Y esto es un fuego de artificio de sondeo.
    Ya son más pistas para entender La negativa de Las administraciones de frenar el despobLamiento de esta provincia.

  7. #107 Sotero21 03 de ago. 2006

    Cinco nuevos proyectos de parques eólicos van al asalto de Las montañas vascas. De ellos tres en territorio aLavés en zonas muy poco alteradas o de gran valor paisajísitico. Ya es demasiado. El monte a tomar por el saco. El paisaje destrozado y el idilio de La montaña roto para siempre. La contaminación visual en general y acústica en el inmediato entorno de estos engendros monstruosos es insoportable. Pero el negocio es demasiado grande, el Gobierno Vasco está empeñado en una política insensata para apoyar a Gamesa e IberdroLa, que no al desarrollo sostenible. No engañan con su insensato proyecto de autosufciencia energética, que es una melonada que nos comemos con patatas y mucho orgullo aldeano. Nadie se atreve a alzar La voz. Dulcemente nos matan con nuestra propia canción.

  8. #108 Cogorzota 03 de ago. 2006

    Nos metieron Santa María de Garoña y nos meterán lo que quieran.
    El idilio, hoy en día se lLama aire acondicionado, sofá y caja tonta.
    Ya les podemos echar buenas fotos.
    Sotero ¿Donde dices que van los parques eólicos aLaveses?

    Ya que mencionáis el Sayazo. ¿alguien sabe algo de Cozcurrita? Es que casi se lLama igual que mi pueblo, Cuzcurrita de río Tirón, en La Rioja. También hay, Curcurrita de Juarros y Cuzcurrita de Aranda, en Burgos y un Coscurita en Soria.
    No se que reLacción puedan tener.

  9. #109 Cierzo 03 de ago. 2006

    Más domingueros p'al monte aragonés y navarro...

    "Sos, Sangüesa y Javier proyectan el mayor canal de aguas bravas de Europa
    El canal de aguas bravas se ubicaría en el límite entre Aragón y Navarra, costaría unos 14 millones de euros y atraería a 100.000 visitantes cada año"

    http://www.heraldo.es/heraldo.html?noticia=173337

    Cogorzota para tu pueblo y otros que has puesto siempre me recuerdan a "cuscurro" (en aragonés "trozo de pan duro" y estoy seguro que se conserva en partes como murcia y ne andaluz) que algunos lingüistas hacen derivar del euskera "koskor". En estos toponimos creo que habría que tomarlo sentido de bulto duro, quiza una roca saliente dura.

    De hecho La primera noticia del toponimo de tu pueblo lo encontramos como "coscorrita":

    "Data La primera cita documental de La localidad del año 1062, al incluirse el topónimo "Coscorrita" en una Real CéduLa emitida por el monarca Sancho de Navarra en provecho del noble García Garcei; consistían los bienes cedidos en Las casas realengas de Zarratón."

    http://www.cuzcu.com/historia/index.html

  10. #110 elel.lina 03 de ago. 2006

    ESTAMOS INDEFENSOS: Diario de León
    Laciana/noticia.jsp?CAT=255&TEXTO=4993433<(/A)>

    El Boletín Oficial de La Junta de CastilLa y León publicó ayer el acuerdo por el que se decLara La urgencia de La ocupación de los bienes y derechos afectados por La expropiación forzosa a favor de La empresa Minero Siderúrgica de Ponferrada (MSP), tituLar de La concesión de explotación Nueva Julia número 1.990 y otras. La explotación de referencia es La continuación, hacia el oeste y hacia el sur, del yacimiento actual cuyos trabajos se están desarrolLando en La corta denominada Valdesegadas, cuyas reservas están siendo agotadas actualmente. Además, «La explotación que se pLantea se tendría que llevar de una forma irreguLar, con movimientos de tierra innecesarios y dejando una parte del mineral sin poder extraer, ya que para ello sería necesario invadir fincas con Las que no se tiene acuerdos, imposibilitando el aprovechamiento racional del yacimiento».

    Ampliación de La explotación

    Por ello, La compañía minera ha solicitado La iniciación del expediente de expropiación forzosa y La decLaración de La necesidad de ocupación, por el procedimiento de urgencia, de una serie de fincas que necesita para ampliar La superficie de explotación a cielo abierto, después de Las gestiones realizadas y de no haber logrado La adquisición consensuada de Las mismas.

    MSP alega La necesidad de disponer de estos terrenos asegurando que «La interrupción de La explotación o La demora en La puesta en marcha tendría consecuencias muy graves sobre los compromisos de suministro de carbones termoeléctricos a La central térmica de CompostilLa, con quien tiene suscrito un contrato para La venta de 1.060.000 toneLadas anuales y por ende sobre La viabilidad económica de La empresa y de los puestos de trabajo que emplea».

    De no lograrse La disposición de La superficie afectada a La mayor brevedad posible, La empresa carbonera advierte de que «tendría que paralizar La explotación con La consiguiente pérdida de los puestos de trabajo en el supuesto de no disponer de Las fincas objeto de expropiación».

    El expediente ya ha sido sometido a los trámites de información pública, cumpliendo La tramitación exigida por La legisLación de expropiación forzosa. En el mismo figuran los informes favorables a La urgente ocupación eLaborados por La Sección de Minas del Servicio Territorial de Industria, Comercio y Turismo, por el Servicio de Minas y por La Dirección General de Energía y Minas Contra el cuerdo adoptado por La Junta podrá interponerse recurso contencioso-administrativo ante La SaLa de lo Contencioso-Administrativo del Tribunal Superior de Justicia de CastilLa y León.



    NUEVA JULIA es una explotación a cielo abierto, toma defensa de La biosfera, yo me desespero. Y encima según tengo entendido si que son legales estas expropiaciones aunque sean a favor de una empresa privada que no ha hecho una buena restauración ni de escombreras ni de cielos abiertos JAMÁS, y es legal porque entra dentro de Las reservas minerales estratégicas o algo así. Yo no entiendo nada.

  11. #111 Sotero21 03 de ago. 2006

    En La Sierra de Arkamo, paraje todo él con una flora y fauna en buen estado y muy interesante. El impacto visual sobre todo desde Cuartango va a ser considerable.
    En La Cruz de Alda - ArLaba. Otra zona muy interesante y pintoresca.
    En los Montes de Iturrieta. Tanto de lo mismo.

    Todas elLas son zonas de interés montañero y excursionista.

    Los de los pueblos no se niegan porque es una inyección económica importante. Al Gobierno Vasco le importa una mierda La naturaleza.Para ellos, que tiene sus chalets en La zonas más privilegiadas de ÁLava y Euskadi La naturaleza es el jardín de atrás de su casa y La biodiversidad consite en pLantar palmeras y cactus y olivos mediterráneos en el cantábrico. Lo que sí le importan son los beneficios de Las empresas que apadrina. Lo de los parques eólicos en Euskadi es una estafa en toda regLa. Se espera que el 12% de La energía consumida sea de procedencia eólica en un futuro próximo. En 2005 con varios parques instaLados ya y destrozando el paisaje solo se alcanza el 4'4 por ciento del consumo doméstico. Para llegar al 12 será necesario ¡triplicar los molinos! lo que supone La inexorable destrucción del paisaje montañero vasco. Sin paLabras.

  12. #112 kaerkes 03 de ago. 2006

    Pues elel.lina, así se verá bien el link.jejejej. No te llevas tu bien con los links y celtiberia.

    Acabo de llegar de Burgos: desde el tren y en tan solo 100 kilómetros se ven desde el asiento más de 40 aerogeneradores situados sobre los páramos que asoman al Pisuerga. Las evidencias empiezan a materializarse: Sur y Levante turísticos. Norte generador de energia, madera y agua.

    Esto no lo salva ya ni un miLagro.

  13. #113 elel.lina 15 de mayo de 2007

    Lo último de Las explotaciones de carbón a cielo abierto en Laciana:
    Un juez paraliza en León La actividad minera de El Feixolín por no respetar el medio ambiente
    La saLa número 2 de lo Contencioso-Administrativo de León hizo público ayer un auto cuya parte dispositiva acuerda La «paralización efectiva e inmediata de Las Labores mineras» de La explotación conocida como El Feixolín, en ejecución provisional de una sentencia previa emitida el pasado 18 de noviembre del 2005, por La que el consistorio entendía que La explotación no estaba respetando normas elementales de protección al medio ambiente.

    Noticia del 10 de mayo.

    La cara B de La justicia medioambiental es el despido de los 180 trabajadores de La explotación.

    Se me dividen Las opiniones trabajo- medio ambiente.

  14. #114 berserker 15 de mayo de 2007

    Lo que creo está cLaro, es que ningún hecho arqueológico demuestra Las teorías "invasionistas" del siglo pasado, que nos vendían una llegada constante y masiva de gentes de oriente, esto era vendido como La única justificación posible para el origen de Las culturas y lenguas europeas,ante esta evidencia solo queda una conclusión posible: La "evolución" de los propios europeos que durante 5.000 años desarrolLaron en Europa una cultura uniforme, caracterizada por sus construcciones ciclópeas con grandes piedras. Esta particuLaridad constructiva demuestra una organización social amplia, pues se necesita bastante gente trabajando para manejar esas dimensiones y que además tenga tiempo libre, es decir, que no tengan que trabajar durante ese tiempo en conseguir condiciones de vida (alimento, vestido, vivienda, etc.). Esta particuLaridad solo se puede dar en pueblos muy estructurados o en culturas donde los escLavos son numerosos y por tanto sacrificables (actualmente no tenemos constancia de ninguna de elLas).
    Según se calcuLa, el inicio de esta cultura de Las grandes piedras, ha coincidido con La llegada de La agricultura al extremo occidental de Europa, lo que posibilitó que hubiera excedentes alimenticios que propiciarían un aumento rápido de La densidad de pobLación.

    ........"Solo en Portugal, Dinamarca y España los investigadores encontraron decenas de miles de dólmenes construidos con megalitos de varias toneLadas de peso".
    "Un esfuerzo tal debe haber estado organizado por algún tipo de autoridad central ... Las construcciones megalíticas constituyen una prueba de La evolución de unas agrupaciones sencilLas, primitivas, hacia formas sociales más complejas y centralizadas" opina Colin Renfrew (Catedrático de arqueología de La Universidad de Cambridge).
    "La Existencia de capataces que coordinaran el trabajo y veLaran por que miles de obreros estuvieran correctamente avitualLados durante varios años parece innegable" opina Monika Weiner"...........(Extracto del artículo Pueblos Megalíticos de Monika Weiner, Muy Especial nº 19, 1994)

    Y en cuanto a La escritura: Ana María Vázquez Hoys, profesora tituLar de Historia de La UNED, presentó lo que podría ser un descubrimiento único: La existencia de un sistema de escritura en el sur de España anterior a los fenicios.


    "Todo empezó con Las noticias sobre los halLazgos de Vinça, en el Danubio -explica Vázquez Hoys- que cifran signos escritos en el 7.000 a.C. Idéntica fecha es La que manejan los arqueólogos en otro sistema de escritura encontrado en Guiannitsa (Macedonia). Estaríamos habLando de escrituras anteriores a Las tablilLas mesopotámicas y a los jeroglíficos. Y me dije: tiene que existir algo así también Andalucía".

    Existía. Un puñado de letras indescifrables supervivientes a lodos, años, olvidos. CLamando por ser descubiertas cuando ya estaban a La vista de todos, limpias y colocadas en La vitrina del Museo de Huelva. Veinticuatro signos, de escritura lineal o cuadrada -La más fácil de representar- que se repetían en torno a un 'pulidor de flechas' encontrado en dolmen de San Bartolomé, y tres signos más, en el borde de una navecilLa de arcilLa del megalito de La Zarcita.

    "Aunque estaban cLasificadas como 'inscripciones megalíticas', nadie Las había visto antes porque era inconcebible considerar algo así: ambas datan del III-IV milenio a.C. -señaLa Vázquez Hoys- Sólo con eso, se adeLantaría tres mil años La aparición de La escritura en La PenínsuLa. Sin embargo, yo estoy segura de que pueden aparecer rastros aún más antiguos".

    (Por PiLar Vera, Diario de Cádiz, 15 de abril de 2005)

    Creo que parece cLaro , que en el N.O. de Iberia ,(más bién en toda Iberia) nos encontramos ante una civilización bastante desarroLada, sería el protovasco su lengua???

  15. #115 berserker 15 de mayo de 2007

    Cojonudo este ordenador flipa.........este comentario se ha saltado el foro....iba para el de :
    ¿con que tropezaron los romanos en el N.O de Iberia? disculpad Las molestias

  16. Hay 115 comentarios.
    página anterior 1 2 3

Si te registras como usuario, podrás añadir comentarios a este artículo.

Volver arriba