Realizada por: biokimiko
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Formulada el jueves, 23 de junio de 2005
Número de respuestas: 4
Categoría: Temas Divinos, Mitológicos y Espirituales

El documento escrito más antiguo conocido, un calendario lunar en hueso


Buenas a todos. he leído en la página web http://www.pais-global.com.ar/oh/oh01.htm lo siguiente "El documento escrito más antiguo conocido, un calendario lunar en hueso, es hecho en Europa" , y lo datan en el paleolítico medio!!! alguien sabe algo al respecto??? en la misma web leo que la domesticación del caballo pudo ser hace 5000 años, cuando yo tenía leído, que al menos para fines militares se utilizaba solo desde la mitad del segundo mlenio antes de nuestra era. una ayudita por favor... GRACIAS!!!

Respuestas

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  1. #1 darius viernes, 24 de junio de 2005 a las 16:51

    Hola biokimico,

    He mirado la página y no dan muchas explicaciones. El paleolítico medio me parece demasiado temprano para esto. Quizás en el Paleolítico superior, con el Homo Sapiens Sapiens se podría. Mira te deja la referencia de un libro que lo comenta, aunque de manera rápida:

    " Nociones de tecnología y tipología en Prehistoria" por Jorge Juan Eiroa, José Alberto Bachiller Gil, Ladislao Castro Pérez, Joaquín Lomba Maurandi. Barcelona, 1999,Colección: ARIEL PREHISTORIA (18,00 €).

    Tienes que distinguir entre las sociedades primitivas que utilizaban un calendario lunar solamente, que posiblemente tenga un origen prehistórico, y las sociedades más complejas que utilizaban los dos calendarios el solar y el lunar. Estas ya son compuestas por agricultores y pastores muy al filo de la civilizacion...

    Para la domesticación del caballo, me parece la fecha muy alta. Las tumbas con caballos están en torno al segundo mileno.

    Un saludo.

    Darius.


  2. #Gracias biokimiko AGRADECIMIENTO

    muchas gracias!!!! me ha ayudado bastante la información dada. ,

  3. #2 darius sábado, 25 de junio de 2005 a las 00:40


    Rose-Marie Arbogast, Benoît Clavel, Sébastien Lepetz, Patrice Méniel et Jean-Hervé Yvinec,
    "Archéologie du cheval. Des origines à la période moderne en France". Paris, Éditions Errance, 2002, 128 p., bibl., ill. (« Collection des Hespérides »).

    Paraissant presque un an après le remarquable catalogue d'exposition dirigé par Patrice Brun sur Le cheval, symbole de pouvoirs dans l'Europe préhistorique (Nemours, Musée de Préhistoire d'Île-de-France, 2001), et bien qu'elle ne recouvre pas exactement le même objet, cette Archéologie du cheval souffre quelque peu de la comparaison. Sa présentation plus austère, son titre qui promet plus qu'il ne tient -- malgré une introduction (pp. 5-6) qui prête à confusion en abusant de l'analogie entre présent et passé, il n'est guère question, dans l'ouvrage, de la « période moderne » --, cette manière, enfin, de critiquer d'autres travaux sans les citer, tout cela contribue à mettre d'emblée le lecteur « sur l'oeil », pour parler le jargon équestre. Pourtant, celui-ci aurait tort de s'arrêter à cette première impression. Sur plusieurs aspects, en effet, le livre apporte d'utiles éléments de synthèse de travaux spécialisés d'archéozoologie restés jusque-là dispersés et difficiles d'accès.

    L'archéologie du cheval ici présentée (chapitre 1) s'appuie sur l'analyse des découvertes de restes osseux d'équidés -- chevaux sacrifiés ou inhumés, déchets alimentaires, résidus d'équarrissage ou d'activités artisanales --, dont la datation est comprise dans une fourchette allant de -5000 à 1500, réalisées principalement dans la moitié nord de la France.

    S'agissant, pour commencer, de la domestication du cheval (chapitre 2), les auteurs soulignent la faible incidence de celle-ci sur l'anatomie de l'espèce équine, d'où la difficulté de distinguer chevaux sauvages et chevaux domestiques, si ce n'est par les harnachements, eux-mêmes périssables, à l'exception des pièces métalliques, plus tardives. Ils relèvent également la multiplicité des sites possibles de domestication du cheval, de l'Ukraine au Portugal, sans vraiment se prononcer sur la question de savoir si cette multiplicité traduit des phénomènes de diffusion d'un centre vers la péRIPhérie ou bien des phénomènes de convergence entre plusieurs foyers autonomes de domestication. La disparition des restes de chevaux sauvages à la fin de l'ère glaciaire leur paraît devoir être attribuée à la diminution de leur chasse plutôt qu'à leur raréfaction. Les auteurs dénoncent le « mythe de l'origine du cheval domestique » (p. 19) construit à partir des trouvailles faites sur le site de Dereivka en Ukraine, dont la datation elle-même (-Ve millénaire) est sujette à caution. S'interrogeant sur les « ressorts du succès » de la domestication du cheval, ils considèrent que la consommation de viande était un facteur important mais néanmoins pas « suffisamment mobilisateur » (p. 24) ; ils cherchent d'autres explications dans le développement des cultures pastorales et dans l'organisation sociale des sociétés domesticatrices -- non sans risque de confondre ainsi les causes et les conséquences de la domestication.

    Abordant ensuite les outils de la domestication et l'équipement du cheval, les auteurs pointent avec justesse -- mais sans grande originalité, ce fait ayant été déjà identifié et analysé dans des travaux qui ne sont pas mentionnés ici -- les difficultés auxquelles se heurtent les archéologues quand il leur faut étudier des « techniques sans objets » comme l'élevage. Le caractère tardif de l'invention d'instruments déterminants comme la selle, les étriers ou la ferrure à clous est bien rappelé. Mais on s'étonne que soient passés sous silence les problèmes posés par l'évolution de l'attelage, que soit reprise l'erreur qui consiste à voir dans le mors une preuve de l'existence de la monte à Dereivka, que la définition et, par conséquent, la datation de la selle à arçon (préalable incontournable de l'étrier) soient laissées dans un tel flou (pour moi, il n'y a pas d'arçon à Pazyryk !).

    La rareté des squelettes complets rend délicate l'étude des variations de la taille des chevaux domestiques. Le chapitre 3 consacré à cette question emprunte l'essentiel de sa matière à la vaste compilation de données archéozoologiques et historiques effectuée par Frédérique Audouin-Rouzeau (1994)1. La constance de la stature des chevaux sauvages aux premiers chevaux domestiques (vers 1,30 m au garrot jusqu'au -IIIe siècle) confirme que la domestication n'a guère influé sur l'anatomie équine. Plus encore, les chevaux gaulois sont « petits et mal faits », constatation qui jette un doute sur l'« effrayante » réputation de la cavalerie gauloise. La situation n'est guère plus brillante chez les Romains, sauf pour les « grands chevaux de guerre » importés ou au moins croisés avec des chevaux de Scythie ou de Perse. Là comme ailleurs, est-il justement noté, « le cheval » idéal « est [...] par définition celui que l'on recherche : il n'existe donc pas » (p. 47). Au Moyen Âge, la taille monte autour de 1,40 mètre. On déplore par endroits un emploi déplacé du mot « race », concept zootechnique élaboré au XIXe siècle.

    Le « cheval aliment » (chapitre 4) donne lieu à une utile synthèse historique, malgré, là encore, les difficultés auxquelles on se heurte en l'étudiant : il arrive notamment que l'hippophagie soit signalée dans les sources écrites primaires alors que sa pratique n'apparaît pas à l'examen des restes osseux, ou inversement. Au total, le cheval est peu chassé au Néolithique. Au contraire, sa viande était appréciée des Gaulois, tout particulièrement du nord-ouest de la Gaule. En revanche, les Grecs et les Romains ne se résolvaient à manger du cheval (mais non de l'âne) qu'en cas d'absolue nécessité ; l'influence romaine en Gaule se traduisit notamment par le recul de l'hippophagie. Les derniers vestiges d'hippophagie en Europe furent combattus par les papes du VIIIe siècle, mais avec des succès inégaux : la consommation de la viande de cheval subsistera tout en continuant de perdre du terrain. L'hippophagie ne sera officiellement autorisée en France qu'à partir du milieu du XIXe siècle, sans toutefois parvenir à s'imposer ni partout ni définitivement ainsi qu'en témoigne sa quasi-disparition aujourd'hui.

    L'examen des pratiques religieuses en Gaule (chapitre 5) montre des inhumations de chevaux seuls ou avec des humains, dans un traitement funéraire commun dont les raisons n'apparaissent pas clairement, ainsi que des sacrifices de chevaux, à des fins alimentaires ou non ; il s'agissait peut-être, dans ce dernier cas, d'animaux associés aux combats et inhumés dans le cadre de commémorations. La plupart des chevaux sacrifiés avaient été exposés à l'air libre, préalablement à l'enfouissement de parties de carcasses en voie de décomposition. L'inhumation en fosse ou en cercueil reflétait sans doute une diversité des statuts.

    Les carcasses de cheval donnaient lieu à une importante activité de récupération de peau, graisse, tendons, crin, os, corne, sang, viande pour la nourriture des chiens (chapitre 6), activité à l'origine de dépôts spécifiques d'ossements, toujours plus nombreux à mesure que l'on avance dans le Moyen Âge. Remplaçant les pratiques individuelles d'abandon à l'air libre ou d'enfouissement des carcasses, habituelles dans les campagnes, l'équarrissage apparaît comme un phénomène essentiellement citadin, générant des dépôts d'ossements le plus souvent évacués à l'extérieur des enceintes.

    Plusieurs des matières premières ainsi récupérées étaient destinées à diverses activités artisanales (chapitre 7). Déjà à l'Âge du Fer et à l'époque gallo-romaine, il existait un artisanat spécifique de fabrication d'objets à partir d'ossements de chevaux : dés, jetons, pelles en omoplate, couteaux dans les mandibules, aiguilles, matrices pour le travail au tour, etc. Au Moyen Âge, l'artisanat se professionnalise : tablettier, patenôtrier (fabricant de perles de chapelet).

    La conclusion de l'ouvrage tranche heureusement, par sa circonspection, sur les maladresses de l'introduction. Comme mûris par les difficultés de leur entreprise, les auteurs s'attachent surtout ici à souligner les limites d'une archéologie du cheval : incertitudes quant à la distinction anatomique des chevaux sauvages et domestiques, silences des restes osseux, qui renseignent plus sur la mort des animaux que sur les utilisations de leur vivant. Parmi les acquis les plus notables, on retiendra tout particulièrement l'existence d'une transition, à l'époque gallo-romaine, d'un système d'utilisation du cheval associant pratiques religieuses et hippophagie, à un autre fondé au contraire sur l'équarrissage et la transformation artisanale de produits de récupération.

    http://etudesrurales.revues.org/document128.html


  4. #3 darius sábado, 25 de junio de 2005 a las 00:42

    http://users.erols.com/mmaidens/prehistoryfr.htm

    http://www.caballomania.com/enciclopedia_historia_caballo/domesticacion.html


  5. #4 darius sábado, 25 de junio de 2005 a las 21:53


    Rose-Marie Arbogast, Benoit Clavel, Sebastien Lepetz, Patrice Méniel and Jean-Herve Yvinec, Archaeology of the horse. Origins at the modern period in France. Paris, Editions Wander, 2002, 128 p., bibl., ill. ("Collection of Hespérides").
    Palmost araissant a year after the remarkable catalogue of exposure directed by Patrice Brun on the horse, symbol of capacities in prehistoric Europe (Nemours, Museum of Prehistory of Island-of-France, France, 2001), and although it does not cover the same object exactly, this Archaeology of the horse suffers somewhat from the comparison. Its more austere presentation, its title which promises more than it does not hold -- in spite of an introduction (pp. 5-6) which lends to confusion while misusing the analogy between present and spent, it is hardly question, in the work, of the "modern period" --, this manner, finally, of criticizing other work without quoting them, all that contributes to put to start the reader "on the eye", to speak the equestrian jargon. However, this one would be wrong to stop with this first impression. On several aspects, indeed, the book brings useful elements of synthesis of specialized work of archeozoology remained up to that point dispersed and difficult of access.

    The archaeology of the horse presented here (chapter 1) is based on the analysis of discovered of osseous remainders of équidés -- sacrificed or buried horses, food waste, residues of squaring or artisanal activities --, of which dating is included/understood in a fork going from -5000 to 1500, realized mainly in the northern half of France.

    Acting, to start, of the domestication of the horse (chapter 2), the authors underline the weak incidence of this one on the anatomy of the equine species, from where the difficulty in distinguishing wild horses and domestic horses, if it is not by harnessings, themselves perishable, except for the metal parts, more late. They also raise the multiplicity of the possible sites of domestication of the horse, of the Ukraine in Portugal, without really coming to a conclusion about the question of knowing if this multiplicity translates phenomena of diffusion of a center into the peRIPhery or many phenomena of convergence between several autonomous hearths of domestication. The disappearance of the wild remainders of horses at the end of the glacial era appears to them to rather have to be allotted to the reduction in their hunting than with their rarefaction. The authors denounce the "myth of the origin of the domestic horse" (p. 19) built starting from the lucky finds made on the site of Dereivka in Ukraine, whose dating itself (- O Cthousand-year-old) is of doubtful validity. Wondering about the "springs of the success" of the domestication of the horse, they consider that the meat consumption was an important factor but nevertheless not "sufficiently mobilizing" (p. 24); they seek other explanations in the development of the pastoral cultures and the social organization of the companies domesticatrices -- not without risk to thus confuse the causes and the consequences of domestication.

    Then approaching the tools of domestication and the equipment of the horse, the authors point with accuracy -- but without much originality, this fact already having been identified and analyzed in work which is not mentioned here -- the difficulties facing the archaeologists when they should study "techniques without objects" like the breeding. The late character of the invention of determining instruments like the saddle, the clamps or the fitting with nails is well pointed out. But one astonishes that are passed under silence problems arising from evolution of attachment, that is taken again the error which consists in seeing in the bit a proof of the existence of goes up in Dereivka, that the definition and, consequently, the dating of the saddle with frame (preliminary impossible to circumvent of the clamp) are left in such a blur (for me, there is no frame with Pazyryk!).

    The scarcity of the complete skeletons makes delicate the study of the variations of the size of the domestic horses. Chapter 3 devoted to this question borrows the essence of its matter from the vast compilation of archeozoologic and historical data carried out by Frederique Audouin-Rouzeau (1994)1. The constancy of the stature of the wild horses to the first domestic horses (around 1,30 m with the garrot until - IIIEcentury) confirms that domestication hardly influenced the equine anatomy. More still, the Gallic horses "and are badly made small", observation which throws a doubt about "alarming" the reputation of the Gallic cavalry. The situation is hardly more brilliant among Romans, except for the "large horses of war" imported or at least cross with horses of Scythie or Perse. There like elsewhere, it is precisely noted, "" the ideal "horse is [... ] by definition that which one seeks: there thus does not exist "(p. 47). To the Middle Ages, the size goes up around 1,40 meter. One deplores by places a moved use of the word "race", zootechnical concept elaborate to the XIXEcentury.

    The "horse food" (chapter 4) gives place to a useful historical synthesis, in spite of, there still, the difficulties against which one runs up by studying it: it happens in particular that the hippophagie is announced in the primary written sources whereas its practice does not appear with the examination of the osseous remainders, or conversely. On the whole, the horse is driven out little with the Neolithic era. On the contrary, its meat was appreciated the Gallic ones, particularly the North-West of Gaule. On the other hand, the Greeks and the Romans were not solved to eat horse (but not of the ass) that in the event of absolute need; the Roman influence in Gaule resulted in particular in the retreat of the hippophagie. The last vestiges of hippophagie in Europe were fought by the popes of the VIIIEcentury, but with unequal successes: the consumption of the meat of horse will remain very continuously to lose ground. The hippophagie will be officially authorized in France only starting from the medium of the XIXEcentury, without however managing to impose itself neither everywhere nor definitively as its quasi-disappearance testifies some today.

    The examination of the religious practices in Gaule (chapter 5) shows burials of horses alone or with the human ones, in a common funerary treatment whose reasons do not appear clearly, as well as sacrifices of horses, at food ends or not; perhaps it acted, in this last case, of animals associated with the combat and buried within the framework of commemorations. The majority of the sacrificed horses had been exposed to the free air, before the hiding of parts of carcasses in the process of decomposition. The burial in pit or coffin undoubtedly reflected a diversity of the statutes.

    The carcasses of horse gave place to an important activity of recovery of skin, lubricates, tendons, hair, bone, horn, blood, meat for the food of the dogs (chapter 6), activity at the origin of specific deposits of bones, increasingly more as one advances in the Middle Ages. Replacing the individual practices of abandonment to the free air or hiding of the carcasses, usual in the campaigns, the squaring seems a primarily town phenomenon, generating deposits of bones generally evacuated outside the enclosures.

    Several of the raw materials thus recovered were intended for various artisanal activities (chapter 7). Already at the Age of Iron and at the time Gallo-Roman, there was a specific craft industry of manufacture of objects starting from bones of horses: dice, tokens, shovels in scapula, knives in the mandibles, needles, matrices for work with the turn, etc. With the Middle Ages, the craft industry professionnalise: tablettier, patenôtrier (manufacturer of pearls of chain).

    The conclusion of the work slices fortunately, by its circumspection, on awkwardnesses of the introduction. As matured by the difficulties of their company, the authors endeavour especially here to underline the limits of an archaeology of the horse: uncertainties as for the anatomical distinction of the wild and domestic horses, silences of the osseous remainders, which inform more about death of the animals than about the uses of their alive. Among the most notable assets, one will particularly retain the existence of a transition, at the time Gallo-Roman, of a system of use of the horse associating practical chocolate éclairs and hippophagie, with another founded on the contrary on the squaring and the artisanal transformation of products of recovery.

    The bibliography is unequal and comprises incomplete or erroneous references.

    On the whole a small book of synthesis useful but often diverting, with contours vague, mixes rigorous descRIPtions and sometimes imprudent interpretations, undoubtedly written too quickly. The reader will may find it very beneficial to supplement it by the catalogue, already quoted, of Patrice Brun. The divergences of the one with the other show moreover which the archaeology of the horse remains richer conjectures than of certainty.

    Notes
    1. F Audouin-Rouzeau, size of the horse in Europe of Antiquity at modern times. Juan-the-pines, archaeological Research center of CNRS (Cards of animal osteology for archaeology, series b: Mammals, n° 5), 1994.


    To quote this article
    Jean-Pierre Digard, Rose-Marie Arbogast, Benoit Clavel, Sebastien Lepetz, Patrice Méniel and Jean-Herve Yvinec, Archaeology of the horse. Origins at the modern period in France. Paris, Editions Wander, 2002, 128 p., bibl., ill. ("Collection of Hespérides")., Rural studies, 163-164 - Ground, territory, memberships, 2002

    http://etudesrurales.revues.org/document128.html


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