Los eclipses eran motivo de arduos estudios de los sacerdotes astrónomos (China, Babilonia), quienes reunieron un enorme material de observación durante milenios, estudiado por la moderna arqueoastronomía.
La predicción de los eclipses se consideraba fundamental para la estabilidad del reino. Fallar en su predicción ponía en grave peligro la cabeza del astrónomo, lo que debe haber sido frecuente, especialmente para los eclipses solares.
Los eclipses de luna se producen solamente en luna llena (día 14-15 del mes lunar, correspondiendo a la ovulación femenina). Era preciso fijar los períodos draconíticos, esto es, el período en que un gigantesco dragón celestial devora a la luna, para lo cual era imprescindible conocer la eclíptica (palabra que viene de eclipse).
La marcación de 12 estaciones lunares en la banda zodiacal de 360· fué el primer paso de la astronomía científica (posiblemente Grecia s. V A.C.)
"The moon and the sun move leftwards in the zodiacal belt, following the sequence of the signs -Aries, Taurus, etc. This is called "direct motion". The path of the moon is slightly inclined to the ecliptic. The intersections of the path of the moon and the ecliptic are called lunar nodes. It is only in the neighbourhood of the lunar nodes that eclipses can occur.
Shortly after new moon, the moon sickle becaqmes visible for the first night in the evening sky; this is the "crescent".
A fortnight later, the "full moon" stands and shines the whole night.
The synodic month is the period from one new moon to the next. The time in which the moon returns to the same node is called draconitic or dragon month, because the nodes are obviously the habitation of the dragon which swallows the moon at an eclipse.
The motion of the moon is not quite uniform: it has an anomaly" (v. der Waerden)
Los nodos vuelven a coincidir en la eclíptica cada 18 1/3 años (=1 saros), en que puede repetirse un eclipse de luna en el mismo lugar.
De Egipto dice Maspero:
"C'etait surtout dans son plein, le 15 de chaque mois, qu'il courait lles plus grands perils. La truie fondait sur lui, l'arrachait de la face celeste et la jetait au Nil d'en haut, ruisselant de sang et de larmes. Il s'etignait graduellement et s'y pendait pendant quelques jours, mais son jumeau le soleil ou le cynocéphale son champion partaient aussitot à sa recherche et la rapportaient à Horus.
(El alma de Osiris va a la luna y allí la persigue Set-Tifón como un puerco negro y la devora. Thot devuelve esta alma a Osiris)
A pein remis en place, il guérissait lentement et recouvrait son éclat: quand il était sain -ouzait- la truie l'attaquait et le mutilait, puis les dieux le recueillaient et le ravivraient de nouveau. Il fournaissait chaque mois quinze jours de jeunesse et de splendor croissantes que suivaient quinza jours d¡agonie et de pàleur progresives: il nassait pou mourir et mourait pour renaitre douze fois dans l'année, et chacun de ses crises mesurait un mois aux habitants du monde (28 días). Entre temps, un accident toujours le mème troublait la routine de son existence: la trouie, profitant d'une distraction des gardiens, l'avalait gloutonement, et sa lumiere s'effaÇait brusquement, d'un seul coup, au lieu de s'affaiblir par degrés. Ces eclipses, qui effrayaient les hommes au moins autant que celles du soleil, ne duraient jamais bien longtemps; les dieux obligaient le monstre à vomir l'oeil avant qu'il l'eut digeré."
También el sol (Ojo derecho del Cielo) en su periplo nocturno enfrenta el peligro de la Serpiente del Duat (Así como las almas muertas; id. entre los mayas)
Este Dragón es Rahu en India, Rahab en Judea, Rawu en Java, Raho entre los dayak de Borneo, lobo Fenris en los mitos nórdicos. En China es un Dragón. En América frecuentemente un jaguar (Sin embargo Coe pone al dragón como causa del eclipse en códices maya-aztecas; me parece más probable que este dragón esté generando al astro que devorándole)
La Serpiente de la Via Láctea mora especularmente en el Nilo terrestre. Dice Maspero:
"Parfois cependant Apôpi, un serpent gigantesque, analogue à celui qui se cache dans le Nil d'ici-bas et qui en dèvore les berges, sortait du fond des eaux et se dressait sur le chemin de dieu: l'equipage courait aux armes et engageait la lutte contre lui, à force prières et coups de piques. Tant qu'elle se prolongait, les hommes voyaient le soleil déaillir et cherchaient à le secourir malgré l'eloignement; ils criaient, s'agitaient, se battaient la poitrine, sonnaient leurs instruments de musique, frappaient à tour de bras sur tout ce qu'ils possedaient de vases ou d'ustensiles en métal, pour que la rumeur montant vers le ciel, effrayât le monstre".
En América es frecuente la hierofanía de un ser masculino lunar-draconiano (v. mi artículo Boa), que en su metamorfosis humana es blanco, el que causa las primeras menstruaciones de las muchachas (las desflora).
Este ser está asociado tanto al pecado (incesto, infidelidad) como a la fertilidad de plantas y mujeres.
La menstruación femenina es vista como algo peligroso.
Dice Reichel-Dolmatoff de los desana:
"Le pourri et le fétide sont toujours associés au sexe féminin, ainsi que les fruits très mûrs ou tout autre aliment très mou".
La luna; "cet astre représente la sexualité charnelle et incestueuse".
La luna y el sol son gemelos; la luna es el aspecto nocturno y maléfico del sol (su cuate, coatl). Seduce a su hija (¿Venus?), incita a las mujeres al adulterio.
El eclipse de sol es muy angustiante ya que el sol ha vuelto a tener una relación incestuosa con su hija; las anacondas yerguen su cabeza del agua.